• E3 : Communiqué de presse

    Les détails de l'étape E3 pour les équipes Amarok sont racontés dans le communiqué de presse de Volkswagen:

    Etape 3 Nejjakh/Mech Irdane – Kilométrage idéal 80 à 110 km – temps estimé 9h30

    Les Amarok à l’assaut des dunes

     C’est une des étapes les plus redoutées. Aujourd’hui, les gazelles ont gravi l’erg Chebbi, le géant de sable qui domine Merzouga. Les équipages avaient le choix entre trois parcours, plus ou moins techniques. La majorité des Amarok a osé le parcours extrême, dit parcours X. Un choix payant ! L’équipage 161, cinquième de l’étape, conserve sa place de leader au général. Le 160, quatrième de l’étape, se positionne à la cinquième place. L’étape marathon à venir sera déterminante.

    Des montées crispantes, des pentes vertigineuses… aujourd’hui, les gazelles auraient aisément pu s’imaginer sur un parcours de montagnes russes. Dès le petit matin, elles ont attaqué les dunes de Merzouga, une mer de sable à la beauté diabolique.

    Premier tankage pour l’équipage 169 avant même la balise 1. Pelles et râteaux sont de sortie. En arrivant au point de contrôle, les gazelles découvrent ce qui les attend sur le parcours X, le plus audacieux. Des murs de sable qu’il faut traverser coûte que coûte pour atteindre le Graal des gazelles, ce petit drapeau rouge pour qui elles sont prêtes à prendre tant de risques. Une bonne respiration et c’est parti. « En théorie, nous avons le choix entre trois parcours, mais en réalité, si nous voulons réaliser une bonne place au classement, nous sommes contraintes de réaliser le parcours X, car sinon, les pénalités réduiront à mal les efforts de ces jours derniers » commente Valérie Dot (N°160).

    Confiance dans l’Amarok

    « Je ressens toujours une petite appréhension avant de me lancer dans les dunes. Je me demande quelle sera la texture, si le passage sera plus facile en court ou en long  » explique Jeanette James (N°161). « Mais une fois parties, l’exaltation me gagne. » « J’adore le sable » jubile, à ses côtés Anne-Marie Borg, sa navigatrice. Afin de creuser l’écart avec ses concurrents, l’équipage essaye de naviguer au cap et de franchir même les plus hauts sommets. Si certains se dérobent, quelques franchissements sont des moments d’anthologie. Finalement, les deux équipages 160 et 161 réalisent exactement la même performance, soit seulement 5,22 kilomètres de plus que le parcours idéal.

    Souriantes et détendues même dans les dunes, Sylvie Delcour et Marie Speeeckaert (N°169) affichent une bonne humeur déconcertante dans cet environnement difficile. « Nous avons confiance dans notre Amarok. Il passe partout et sa solidité nous rassure. » Les gazelles belges finissent quinzièmes de l’épreuve. Une belle prouesse !

    L’équipage 163 s’est engagé sur le parcours X presque par hasard. « Nous visions la balise 1 du parcours Y, un peu moins difficile, mais, nous nous sommes trompées de cap et nous sommes arrivées sur la balise 1X. D’autres gazelles nous ont convaincu de tenter l’aventure. Nous sommes contentes de les avoir écoutées » soulignent Blandine d’Astorg et Anne-Sophie Le Hoang.

    Le 165 a pour sa part effacé les souvenirs difficiles de l’édition précédente. « Nous ne nous sommes tankées qu’une seule fois. La conduite souple de Maud fait merveille » se réjouit Laurence Bleger. « De mon côté, j’ai tellement marché pour vérifier quel était le passage le plus opportun qu’on aurait cru que je m’entraînais pour le Marathon des Sables ! »

    Vive la solidarité au sein du Team

    D’autres équipages ont préféré le parcours Y, un brin plus simple. Habituellement, le règlement interdit aux équipages de se suivre, mais ce n’est pas le cas dans les dunes. Les équipages 162 et 168 ont donc fait la traversée jaune ensemble. « Lorsque nous nous sommes tankées, Charlotte et Marie nous ont tractées. Quelques mètres plus loin, la situation s’est inversée. J’apprécie énormément cette solidarité qui règne au sein du team Volkswagen » indique Manale Faxelle (N°162). « Finalement, nous avons trouvé le parcours Y plutôt facile » commente Charlotte Martens et Marie Michiels (N°168). « Nous regrettons de ne pas avoir été plus audacieuses. » L’équipage 166, en revanche, est ravi de son choix. « Les deux derniers jours, nous avons beaucoup galéré. Cette journée nous a permis de nous surpasser. Nous avons trouvé toutes les balises et nous sommes même rentrées avant la nuit ! »

    Demain, les gazelles attaquent la première étape marathon. Plus de 320 kilomètres en autonomie totale, pas d'assistance mécanique le soir, pas de ravitaillement carburant, un bivouac improvisé et 12 balises à valider sur les deux jours. Deux journées et une nuit qui laisseront sans aucun doute aux gazelles des souvenirs incroyables !

     

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