• Le Prologue

    Prologue Nejjakh/Nejjakh – 45 kilomètres

    Des gazelles à l’aise lors du prologue (ou)

     

    Une mise en roues enthousiasmante

     

    Terrain peu accidenté, navigation relativement facile, le prologue du Rallye Aïcha des Gazelles ne présentait pas de difficultés particulières. L’occasion pour les gazelles averties de retrouver leurs sensations. Les nouvelles aventurières se sont prouvées de se prouver qu’elles sont capables de dénicher les fameuses balises en situation réelle. A l’occasion de ce prologue, les Amarok se sont particulièrement bien comportés. Et déjà, la solidarité s’est exprimée au sein du Team.

    Les équipages Amarok ont le sourire. Il faut dire que le prologue, couru sous un soleil éclatant, s’est avéré être pour certains un moment de félicité.  « « Nous n’avons rien oublié ! Nous savons encore jouer… » s’exclament Jeannette James et Anne-Marie Borg. Second des deux dernières éditions, l’équipage 161 vise la plus haute marche du podium. Même enthousiasme chez Valérie Dot (N°160). « C’est la dixième année que je participe au Rallye Aïcha des Gazelles, pourtant, je n’éprouve aucun sentiment de routine. Chaque jour est une surprise, ce n’est jamais la même chose ». 

    « Lors de notre première participation l’année dernière, nous avions le sentiment d’être des guerrières, qui rien ne pouvait arrêter. Dès le prologue, nous nous sommes retrouvées tanquées dans les dunes » se souviennent Blandine d’Astorg et Anne-Sophie Le Hoang (N°163). « Cette année, nous savons ce qui nous attend, ce qui nous oblige à être plus modestes. Nous n’avons pas oublié ce que signifie chercher des heures une balise, là, tout près, qui ne se matérialise jamais ! »

    Solidaires dans les embûches

    Quelques dunettes à franchir ou à contourner, de longues plaines caillouteuses où le regard porte loin à l’horizon, les gazelles ont pu apprécier une partie de la richesse des paysages marocains. Pour accéder aux balises sans trop de kilomètres supplémentaires, les Amarok ont aussi traversé quelques zones remplies d’herbes à chameau… avec plus ou moins de réussite. « Nous nous sommes posées sur une herbe à chameau. Impossible de bouger. Heureusement, Charlotte et Marie (N°168)  nous ont tractées, afin de nous sortir de cette embûche. C’est une belle preuve de la solidarité au sein du team » assurent Laëtitia Bleger et Maud Garnier (N°165). De leur côté, Laurence Groh et Myriam Tadros (N°167) ont sorti les plaques de désensablage. « Nous avons pelleté à plusieurs reprises. Nous n’avons pas pensé à bloquer le pont : tout devrait aller mieux maintenant que certains réflexes reviennent. »

    Manale Faxelle et France Clèves (N°162) ont quant à elles été gênées par le dérèglement de leur PC Trip, qui leur permet de suivre le kilométrage réalisé. « Nous comptons sur les compétences des mécaniciens de Volkswagen afin de trouver une solution pour demain. »

    Demain… le moment où les choses sérieuses commenceront. Les gazelles se lèveront avant l’aube, à 4 heures du matin, afin de prendre le départ, dès 6 heures, de leur première étape. Une étape de 125 kilomètres à vol d’oiseau, qui devrait leur réserver encore bien des émotions.

     

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